A l'intérieur de ce numéro
Ambiance chaude dans la tribune Sud du stade du Ray, où la Brigade était venue manifester son soutien à l’OGCN pour le premier match de la saison à domicile. Parmi les supporters les plus actifs, nous avons pu remarquer la présence de Karine et Sébastien Sauter, accompagnés de leur papa Jeff, de parrain (alias Louis) et de tata Hélène - cette dernière accompagnée également de son frère Thierry, que nous avons souvent vu sur le stade de Monaco.
Avant le match nous avions déjà pu remarquer certains de ces supporters qui faisaient la chasse aux autographes à l’entrée des joueurs. Leur cible privilégié semblait bien être Thierry De Neef, arrivé à Nice cette année après une excellente saison à Sedan. Nous avons même cru apercevoir Hélène faire la bise au joueur Niçois - après vérification, il semblerait bien que le cousin germain de De Neef (Yvan) soit un ami d’Hélène et Louis - ceci explique cela.
La première période s’étant achevée sur un malheureux score nul (0-0), tout le monde a profité de la mi-temps pour étancher une forte soif due à la chaleur toute estivale qui régnait sur le stade.
En deuxième période, encore quelques occasions de but
ratés par les deux équipes laissaient présager un score final de 0-0.
C’est alors, pendant les arrêts de jeu, que Thierry De Neef a décroché
un tir magistral, directement dans la lucarne du goal Sochalien qui, malgré
un plongeon spectaculaire, n’a même pas touché le ballon. 1-0 pour Nice!
L’explosion de joie des supporters a été entendu dans tout Nice.
Le match s’est achevé quelques instants plus tard sur cet excellent score, et les supporters Niçois ont quitté le stade dans la joie et le concert de Klaxons.
Si vous aimez la bonne musique et la bonne bière voici une adresse fort sympathique.
Bonne musique grâce à l’excellent bassiste-guitariste-chanteur Jeff, accompagné par son super séquenceur de poche - nous avons particulièrement apprécié la très belle interprétation de Roxanne.
Bonne bière aussi, depuis la Bueckler du musicien jusqu’à la Corona dont votre serviteur s’est montré particulièrement amateur.
Et pour finir la soirée en beauté, pourquoi pas une partie de baby-foot ou de billard ?
A peine arrivé à Athènes, le chauffeur de "TAΞI" nous a montré que l’Acropole était bien à sa place. Toutes les rumeurs disant que les Romains l’avaient volé n’étaient donc pas fondés. Malgré tout, quelles racaille ces Romains !
C’est un des aspects magiques d’Athènes : au détour d’une rue, découvrir une nouvelle perspective de l’Acropole, dominé par la le Parthénon.
Une autre colline d’Athènes, le Lycabète, permet d’avoir une vue d’ensemble de toute la ville qui semble gigantesque.
Notre hôtel était au pied du Lycabète (déjà un peu en hauteur) et la vue sur l’Acropole était splendide depuis le hall d’entrée et depuis la piscine.
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Nous avons
bien sur visité l’Acropole
: le Parthénon, les Caryatides, le musée. Nous ne sommes pas monté sur la
colline de l’Aréopage, car la vue des deux ambulances qui attendent les
touristes qui s’y cassent la figure tous les jours nous a dissuadés. (J’y
suis allé l’année dernière, et c’est vrai que le marbre est très
glissant.) |
Après le déjeuner, quelques courses à Monastiraki (souvenirs, cartes postales, etc.) Incroyable mais vrai, le vendeur à qui j’ai acheté les souvenirs l’année dernière est sorti de son magasin pour venir me dire bonjour - il se souvenait de moi. Maintenant, Hélène se pose des questions sur les Grecs. Un autre vendeur est un professeur à la retraite qui parle 12 langues (il est en train d’apprendre le japonais). Il nous a fait un petit cours d’histoire grecque pour expliquer les origines des objets que nous achetions.
Après tout cela, il n’y avait qu’une chose à faire : la sieste, en attendant d’aller dîner le soir.
Une croisière d’un jour permet de découvrir (rapidement) trois îles du Golfe Saronique : Egine, Poros et Hydra. Ce mini voyage organisé nous a montré que les Grecs ne le sont pas du tout (organisés), mais ils s’en sortent quand même.
A Egine, nous avons visité le temple d’Aphaia. (visite facultative en supplément, mais le prix comprend une magnifique casquette avec le nom du bateau - comment résister ?)
Hydra est la plus belle des trois îles, au milieu d’une mer d’un bleu à peine croyable. Nous voulions nous y baigner, mais n’avons pas pu par manque de temps (j’ai bien dit visiter rapidement).
Deux heures et demie de bateau pour regagner Athènes, puis notre hôtel où Hélène s’est immédiatement couché (le mélange de chaleur torride et de roulis ne semble pas réussir à Hélène).
Une très belle journée, mais épuisante par cette chaleur. Nous avons décidé par la suite de découvrir Athènes de manière désorganisée, à notre rythme. Ce choix s’est montré judicieux.
Il a fait chaud ! On s’y attendait un peu, mais pas à ce point. Le premier jour nous sommes sortis nous promener vers 15 heures, et il faisait 42°. J’ai tenu le coup, mais Hélène n’était pas bien du tout - le soir nous avons dû écourter le repas, et Hélène s’est couchée épuisée.
Par la suite, une sieste tous les jours entre 15 heures et 18 heures, suivi d’un plongeon à la piscine nous a permis de mieux supporter la canicule. (Sauf le jour du « One Day Cruise » qui n’a fait que confirmer le besoin de faire la sieste).
Le dernier jour il faisait moins chaud (33°). Ce soir là, nous sommes monté au mont Lycabète (par funiculaire) et il y faisait très frais, presque froid (28°). Quel plaisir ! En rentrant à Paris, il faisait 15° - quel contraste !
Terminons par les aspects culinaires de l’art de vivre en Grèce.
Les repas de midi ont souvent été très légers, à cause de la chaleur - une petite salade grecque arrosée d’eau minérale.
Le soir, la relative fraîcheur (33° à 11 heures du soir) nous a permis de mieux profiter des excellents plats et vins servis dans les restaurants et tavernes. Un peu d’Ouzo en apéritif avec quelques olives, puis le repas : Moussaka, Pastitsio, Kolokythias, Tzatziki : tout est délicieux et très frais. Dans une des tavernes, deux guitaristes assuraient l’ambiance musicale. Et nous avons fini la soirée au cinéma en plein air : « Mrs Doubtfire » en VO (sous-titré en grec)
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